Le torrent de haine que certains acteurs politiques de l’extrême-Gauche et même de la Gauche classique déversent sur la Droite nationale et ses alliés m’apparaît bien loin d’une conception démocratique du gouvernement d’une société. L’appui éhonté de l’ensemble des médias grand-public à cette entreprise violente de discrédit d’un mouvement qui, si nous en croyons les sondages, devrait s’assurer un grand nombre de sièges à l’Assemblée Nationale, me choque au plus haut point.
Il y a là un incroyable mépris du peuple par ceux qui se prétendaient jadis comme ses meilleurs défenseurs. Le peuple agit en la circonstance, selon les acteurs de cette cabale, de manière non-conforme à la seule norme qui vaille. Sa parole doit donc être considérée comme entachée de bêtise et ne mérite plus aucune considération. Seuls quelques très rares chaînes de télévision et de radio ou écrits, osent courageusement affronter ce matraquage, ces insultes, ces menaces, ces allusions, ces associations subliminales, ces détournements d’information et ces contre-vérités, émis à longueur d’émissions et de pages de journaux. Pire des institutions qui devraient se porter garantes de la vie démocratique, Conseil d’État et Conseil Constitutionnel, apportent leur indigne contribution, à cette avalanche de détestation et à ces menaces d’émeutes et de sabotage. Dévoilant « officiellement » leur subjectivité des syndicats de journalistes, accompagnent ceux d’enseignants, de magistrats et même de diplomates, pour menacer d’une révolte au cas où ce qu’ils appellent « l’extrême…
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