L’Arménie et l’Azerbaïdjan à l’ONU : Deux approches différentes

De nombreuses réunions formelles et informelles entre chefs d’État, hauts fonctionnaires et représentants de la société civile ont eu lieu dans le cadre de la 80e session de l’Assemblée générale des Nations unies, qui s’est tenue du 22 au 30 septembre.

Il s’agit d’un événement qui se distingue par les discours prononcés par les chefs d’État, les ministres des Affaires étrangères et d’autres hauts fonctionnaires. Il s’agit d’un événement crucial pour l’arène politique internationale, car il présente les réalisations et les priorités politiques, stratégiques et économiques de chaque pays, les objectifs de politique étrangère et, d’une manière générale, la manière dont le pays se positionne dans le monde, ce qui en fait l’un des principaux événements que la communauté internationale doit observer et dont elle doit tirer des conclusions.

L’Arménie ne fait pas exception.

Chaque année, le chef d’État arménien présente au monde les réalisations et les objectifs stratégiques du pays et transmet son message depuis la tribune de l’ONU. Cependant, cette fois-ci, le Premier ministre arménien s’est rendu à l’ONU plus tard, manquant ainsi l’occasion de participer à des engagements de haut niveau, tels que la réception officielle du président américain Trump et de son épouse. Au lieu de cela, le Premier ministre Nikol Pashinyan a assisté à la conférence « World Atomic Week » à Moscou, discutant des petits réacteurs modulaires avec ses homologues russes, bien qu’un protocole d’accord ait été signé il n’y a pas longtemps avec les…